La calvitie dont un pourcentage élevé d'hommes et certaines femmes sont atteints est essentiellement due à un facteur génétique. D'autres facteurs, comme les effets secondaires résultant de certains médicaments ou de certaines maladies, sont aussi responsables de la chute des cheveux. L'hérédité joue donc un rôle dans la calvitie dite progressive.
De nos jours plusieurs outils et techniques sont à notre disposition pour traiter d’une façon permanente la zone dégarnie par la calvitie. Il est cependant difficile de faire la lumière sur ce qui convient selon la calvitie, le type de cheveux, le budget, etc., et d’y voir clair à travers toutes ces technologies.
Depuis toujours, l'homme tente de camoufler la calvitie, perruques et postiches de toutes sortes étant ses outils de prédilection. Ceux-ci existent toujours, mais sous des noms qui ne font que confondre les gens. On parle de micro greffe non chirurgicale, de tissage, de folligraphe, etc.
Nous savons maintenant que l'alopécie peut être influencée par les rayons ultraviolets du rayonnement solaire. Cette découverte a été faite par un scientifique américain de la Géorgie, le Docteur Tamaz Tamazashvili, MD, Ph. D.
Il s’agit d’une technique de prélèvement n’affectant en rien la façon d’implanter les cheveux qui consiste à prélever les unités folliculaires une à la fois à l’arrière de la tête grâce à un bistouri circulaire manuel ou motorisé. Elle est recommandée lorsqu’on désire éviter une cicatrice linéaire à l’arrière de la tête. Cependant, il est primordial de noter qu’elle laisse fréquemment des cicatrices circulaires ou punctiformes qui ne sont parfois guère mieux si on désire se raser les cheveux.
Voilà une autre région qui peut être garnie de cheveux grâce à la technique de micro greffe par unités folliculaires pures. La région capillaire couvrant les tempes – cet endroit à l’avant de chaque côté de la tête où les cheveux vont vers le bas – peut reculer graduellement avec l’évolution de la calvitie ce qui donne l’apparence d’un front large.
Voici une approche qui à première vue semble tout à fait nouvelle et innovatrice, mais qui consiste finalement à utiliser une technique chirurgicale qui existe depuis une vingtaine d’années. À l’opposé de la FUE où nous avons une moyenne de 2,1 cheveux par greffon, elle offre la possibilité de greffer jusqu’à 4 à 5 cheveux par greffon, voire même plus, en regroupant judicieusement des unités folliculaires ensemble lors de leur préparation sous le microscope. La technique nécessite un prélèvement par bandes et une dissection sous microscope (famille folliculaire).